mercredi 15 octobre 2008

Régis en a sa claque du Brésil



- Ni fâme, ni à poâl, et édenté par-dessus le marché.
En plus, il me pince la joue. Je veux rentrer chez moiiiiiii!

Régis n'a décidément pas de chance



- Là, c'est bon pour le "à poâl" (ou presque); mais la partie "fâme" pêche un peu.

Régis n'apprécie pas les marathoniennes à leur juste valeur



- Ah, voilà enfin une fâme! Mais elle est pas à poâl.
Et, euh... Elle transpire un peu beaucoup.

dimanche 12 octobre 2008

Régis nous écrit du Brésil (4)



Au final, pour calmer le marchand, on a dû lui acheter tout son stock. Tatie Vivi était pas trop contente; je l'ai entendu marmonner des trucs comme "sale garnement" et "privé d'argent de poche jusqu'à la fin du séjour". Je suis vraiment un incompris.
Sinon, l'espèce de montagne qu'on voit derrière moi sur la photo s'appelle le Pain de Sucre, et comme son nom ne l'indique pas, elle est en bête caillasse ordinaire. Non seulement y'a pas de fâmapoâls ici, mais les montagnes sont exactement pareilles qu'à la maison. C'était bien la peine de dépenser je sais pas combien d'euros pour m'envoyer à l'autre bout du monde!

Régis nous écrit du Brésil (3)



J'ai quand même trouvé un truc marrant à faire: une partie de cache-cache dans les cocos! Le marchand m'a un peu grondé; il paraît que j'ai foutu du sable plein ses fruits. Mais c'est pas ma faute si ça colle aux pattes!

Régis nous écrit du Brésil (2)



J'aurais volontiers essayé le beach volley, mais... Je vous fais pas un dessin. Triple pffff.

Régis nous écrit du Brésil (1)



Chère Môman, cher Pôpa,

Je suis bien arrivé au Brésil où vous m'avez expédié avec Tatie Vivi pour être tranquilles pendant le déménagement. Tout ça sous prétexte que comme j'ai pas de bras, je peux pas porter de cartons. Pffff. "Tu verras, ça va te plaire, que vous m'avez dit. Là-bas, c'est plein de fâmapoâls." Que dalle, ouais. Aujourd'hui Tatie Vivi m'a emmené à la plage, et y'avait pas un chat - encore moins des fâmapôals. Elle a essayé de me faire croire que c'était parce qu'il faisait trop froid, mais j'ai bien vu que le thermomètre indiquait 22°! Apparemment, ici, c'est considéré comme une température polaire. Ca ne m'a pas empêché de m'étendre sur mon kanga (c'est comme ça qu'on appelle les paréos ici; hésitez pas à me demander quand vous savez pas...) et d'essayer de bronzer. Je me serais bien baigné, mais je suis que "surface washable". Et aussi, je sais pas nager, toujours rapport à l'absence de bras. Re-pffff.

(A suivre...)